Pour des couleurs plus vraies que nature : Comment les imprimeurs, grands et petits, mettent dans le mille avec la colorimétrie spectrale

Les imprimeurs et les transformateurs qui se servent de spectrophotomètres pour surveiller et contrôler leur activité d’impression peuvent transformer leurs chiffres de manière signi cative pour peu qu’ils se livrent à un minimum d’exploration de données, prétendent les spécialistes des techniques de colorimétrie.

« Quand vous mesurez une couleur avec un spectro, vous obtenez des données spectrales qui sont comme l’ADN de cette couleur », dit Brian Ashe, architecte en solutions pour l’entité opérationnelle Pantone d’X-Rite Inc., à Grand Rapids, Michigan. « Ces données peuvent s’avérer vraiment précieuses pour tous les métiers de l’imprimerie parce qu’elles donnent de superbes indications, utiles notamment pour obtenir la même couleur sur d’autres supports et par des procédés différents, ou pour prédire ce à quoi elle ressemblera sous d’autres conditions d’éclairage. »

Heureusement, les chefs de fabrication et les conducteurs de presses ne doivent pas se pencher sur des lignes et des colonnes de chiffres pour démêler l’ADN d’une couleur ou essayer de comprendre quelle nuance le client souhaite exactement.

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